Depuis le premier confinement (et le vrai confinement au passage), j’ai complétement changé mon alimentation. Excepté mon repas du diner, le seul et l’unique moment où je mange correctement. Le reste du temps ? Je jeûne, par manque d’appétit, ou je grignote par flemme de cuisiner… Par grignotage, je suis loin des clichés : chocolats, bonbons, chips soda. Je suis partie loin ! Mon délire va vous faire hausser les sourcils, mon truc à moi ce sont les pâtes crues. Pas cuites, non. Et dans la famille des aliments plus communs, j’ai pioché la passion pain de mie complet.
Bref les glucides qui ne servent à rien, je connais bien.
Les conséquences ? Avec 2 tranches de pain de mie et 90 grammes de pâtes, je ne vais pas aller loin sur la balance, surtout que mes diners restent légers et healthy, et que je m’efforce de maintenir une activité physique quotidienne comme 30 minutes de marche minimum ou au moins 20 minutes d’activités cardio grâce au jeu vidéo « Just Dance ». #BientôtDanseAvecLesStars #Ahah
Passionnée par la nutrition, je connais les bons repas sains et tout le tralala, mais j’ai une flemme totale quand je passe en cuisine, surtout depuis que je suis en télétravail.
J’ai donc décidé de mettre fin à mes bêtises avec l’aide de Make Me Healthy. La marque propose des programmes de rééquilibrage alimentaire sur-mesure et à distance, élaborés par une équipe de diététiciennes nutritionnistes après avoir rempli un bilan précis au sujet de son mode de vie.
Un rééquilibrage alimentaire, mais pourquoi faire ?
Tout simplement pour apprendre ou réapprendre les bases de l’alimentation et de la nutrition. Il s’agit de retrouver une alimentation saine, qui apporte à l’organisme tout ce dont il a besoin pour être en bonne santé, tout en se faisant plaisir en mangeant.
Qui est Make Me Healthy ?
Sarah Marin-Maire et Colette Friedrich, deux amies, ont imaginé en décembre 2016, le programme alimentaire qu’elles rêveraient de suivre : MAKE ME HEALTHY.
Les deux femmes se complètent puisqu’elles ont évolué dans deux univers professionnels distincts. Sarah est diététicienne nutritionniste diplômée, elle crée avec son équipe de 11 diététiciennes, soigneusement sélectionnées, les programmes alimentaires sur-mesure basés sur les besoins, objectifs et contraintes des patients. Quand à Colette, elle est en charge de la communication et du développement. Elle anime les réseaux sociaux, gère le site Internet et l’application web de Make Me Healthy.
Instagram les a beaucoup aidées à se développer (surtout grâce à des influenceuse connues), à se faire connaitre et à créer une communauté très forte.
La particularité de Make Me Healthy ?
Vous l’aurez compris, on parle d’un service dématérialisé avec un suivi à distance par une diététicienne de leur équipe, que l’on choisit au moment de son inscription. Aucun rendez-vous physique, tout se passe par téléphone. Point positif, surtout en ce moment. Moins je sors et mieux je me porte : aucune contraintes de déplacement, pas l’angoisse de trouver une place pour se garer, etc. On choisit l’horaire qui nous convient et on a notre rendez-vous d’où on le souhaite.
Les formules commencent à partir de 119€ pour 3 consultations et comprennent : un bilan nutritionnel, un programme alimentaire sur-mesure, l’accès à l’application Make Me Healthy (conseils, recettes, etc) et le réajustement du programme en fonction de ses envies/besoins au fur-et-à-mesure des semaines.
Est-ce que ce programme est remboursé ?
Tout dépend de la mutuelle ! Mais comme nous avons affaire à des diététiciennes-nutritionnistes, c’est tout à fait possible. N’hésitez pas à contacter votre mutuelle pour en savoir plus.
Je n’ai pas de poids à perdre, puis-je quand même suivre ce programme ?
Oui. Si vous ne souhaitez pas perdre de poids, ne vous inquiétez pas, un rééquilibrage alimentaire est avant tout fait pour améliorer votre hygiène de vie et pour apprendre à manger de façon plus équilibrée. Cela concerne donc tout le monde, kilos à perdre ou non !
Mon retour d’expérience
J’ai utilisé mon smartphone pour tester l’expérience utilisateur, mais il est tout à fait possible de passer par un ordinateur. Que ce soit sur l’un ou l’autre, l’ergonomie, le design et la fluidité des échanges méritent d’être surlignés. J’adore leur graphisme, leur univers et leur image de marque. Les couleurs sont dynamiques, les typographies modernes, cela donne envie de se prendre en main !
L’aventure débute par un bilan en ligne, via un chat bot avec Sarah, l’une des co-fondatrices. Il faut alors répondre à quelques réponses, en moins de 5 minutes. Sexe, prénom, intolérances, pathologies et choix de son objectif. J’ai opté pour rééquilibrer son alimentation et perdre du poids. Même si en vrai, je souhaite avant tout mieux manger, mais si je peux perdre 1 kilo, cela me va aussi. #LaFilleQuiChipote
Après le choix de son forfait et le paiement de celui-ci (j’ai opté pour 3 consultations de suivi), s’en vient un nouveau bilan à dresser, mais cette fois-ci beaucoup plus détaillé et forcément plus long. Pendant 20 minutes, j’ai répondu au chat bot. Il s’agit d’une consultation bilan pour que la diététicienne comprenne mes habitudes alimentaires. C’est à ce moment que j’ai indiqué les produits que je ne voulais pas du tout consommer : poissons, viandes, lactose et gluten. Vu comme ça vous allez vous dire « mais tu ne manges rien ». Et bien si ! La vie ne se résume pas au pain, jambon et gruyère, dieu merci.
La partie un peu relou de ce bilan : il a fallu remplir un relevé alimentaire pour préciser ce que l’on a mangé durant deux journées. Pourquoi relou ? Parce qu’il fallait indiquer le poids précis des aliments consommés. Le but ? Faire un bilan détaillé pour que la professionnelle de santé puisse proposer un programme alimentaire en se basant dessus.
Pour conclure cette étape, j’ai pu choisir la diététicienne de mon choix et caler un premier rendez-vous avec. Et il y a le choix ! Plus de dix femmes se proposent de vous suivre. J’ai opté pour Carole. Elle m’inspire de la sympathie, j’aime beaucoup son parcours, sa description et son sourire.
Mon programme alimentaire
Quelques jours plus tard, le 1er février, j’ai reçu par email mon programme sur-mesure alimentaire ainsi que des conseils nutritionnels personnalisés.
Je dois alors tester pendant 8 jours ce programme, afin d’en parler lors de ma première consultation téléphonique prévue le 9 février prochain.
Point hyper positif : je détiens mon propre espace dédié, et sécurisé, sur leur site Internet. Hyper pratique !
Les diététiciennes de Make Me healthy élaborent pour chaque patient un programme alimentaire sur-mesure en fonction de toutes les données transmises lors de la consultation bilan et en fonction du relevé alimentaire : habitudes de vie, habitudes alimentaires, besoins, contraintes, objectifs, etc. Chaque programme est donc unique.
Et c’est là que le plus dur commence.
En parcours la feuille de route alimentaire, j’ai trouvé cela clair, facile et j’ai tout compris (en même temps ce n’est pas bien compliqué hein). Carole avait ajouté une note, des choses que je savais bien évidemment mais j’aurais préféré faire comme si de rien était. Là, c’est écrit, impossible de se voiler la face. Je ne mange pas assez, résultat quand je fais des écarts, je le paie sur la balance. Ceci expliquerait donc cela. Là au moins c’est clair, avec le télétravail, j’ai carrément déconné et je commets beaucoup trop d’erreurs dans mes assiettes.
J’adore la partie recettes de mon compte, elles sont personnalisées en fonction de mes goûts et de ce que je mange. Que du végétarien des centaines d’idées accessibles avec de multiples filtres ! Hyper pratique quand on est en panne d’idées, ce qui est mon cas. Je mange régulièrement la même chose : d’une parce que cela me rassure et de deux car je tourne rapidement en rond quand il s’agit d’innover. Je vous l’ai dit, les fourneaux et moi ne font pas bon ménage. Là au moins, je n’ai plus aucune excuse si je mets à manger des pâtes crues.
Sept jours plus tard
Les premiers jours ont clairement été une épreuve. Le matin je n’avais vraiment pas faim. C’est seulement vers 10h que je me suis dit « tiens et si je prenais un petit déj pour éviter de grignoter vers 12h jusqu’à 16h ». J’ai donc versé mes flocons d’avoine dans un bol, ajouté des graines de chia et… SOUCI. Je n’avais pu de lait de riz (pour rappel, je ne consomme pas de produits laitiers ou alors très rarement car j’ai des soucis de digestion et d’acné quand j’en mange). Plan B, j’ai dû verser de l’eau à la place. Croyez-moi, c’était bien infâme et je n’ai par la suite par retenté le petit déj’, même si j’avais racheté des boissons végétales. Je n’avais aucune envie de me forcer à manger les jours suivants.
Etonnamment, c’est surtout quand je suis en télétravail que mon cerveau bloque sur le repas du matin. Mais je sais exactement pourquoi. Si je commence à manger dès 7h, je ne vais pas réussir à m’arrêter une fois le repas terminé. J’aurais toujours envie d’aller voir dans la cuisine ce que je peux avaler. Alors qu’au boulot, je ne connais pas cette problématique puisqu’il n’y a pas de tentations.
Le midi, j’ai enfin réintroduit des aliments nutritifs corrects ! Un mélange de légumineuse et de céréales complètes, accompagné parfois de légumes (quand j’avais le courage d’éplucher et tout le tralala, donc 1 fois sur 7). Vers 17h si l’envie me disait, je prenais un fruit. Et enfin au dîner, je me préparais des légumes, des salades, avec du pain de mie complet et en dessert deux yaourts sans lactose. Il m’était demandé d’en prendre 1 seul, et non 2, mais que voulez-vous, je suis une thug.
Le bilan est plutôt positif dans l’assiette. En revanche sur la balance, le poids n’évolue pas, j’ai même pris quelques grammes, rien de méchant
Le petit truc négatif : les quantités sont trop importantes par rapport à ce que j’ai l’habitude de consommer. Je ne suis pas vraiment d’accord avec cette idée de vouloir me faire manger davantage. Limite je trouve cela énervant de me voir dire « non il faut manger comme ceci parce que bla bla ». Nous sommes tous différents et je suis de l’école qu’il faut avant tout s’écouter avant de suivre les conseils des autres, sauf si soucis de santé !
Le 9 février, à 12h30 pétantes, Carole m’a appelée pour débriefer de cette première semaine. J’étais un peu stressée à l’idée de lui expliquer que je ne voulais pas prendre de petit déj ahah.
J’ai adoré les 30 minutes passaient avec Carole. Elle s’est montrée douce, compréhensive et rassurante. Nous avons échangé sur tous les points : mon ressenti, comment s’est déroulée la semaine, ce que je souhaitais voir évoluer dans mon programme alimentaire, ce que j’ai apprécié ou pas, les difficultés rencontrées, etc. Ainsi, à la fin de notre conversation, j’ai reçu un second programme avec des ajustements sur le petit déj, l’intégration des œufs le midi et la modification de mon goûter. Cet échange fut très instructif et agréable, j’ai reçu des conseils constructifs. La diététicienne doit me rappeler prochainement pour un nouveau point de suivi.
C’est super que les diététiciennes de Make Me Healty réajustent le programme et apportent des astuces spécifiques pour s’adapter à toutes nos problématiques et contraintes.
Bilan
J’ai encore du pain sur la planche pour reprendre une routine alimentaire « normale » et j’en suis consciente. En revanche, j’ai désormais toutes les clés en main pour y arriver et surtout, je me sens moins seule pour y parvenir. Avec ma feuille de route alimentaire, je suis équipée. Affaire à suivre donc !
Pour plus d’infos sur Make Me Healty, c’est par ici : https://www.makemehealthy.fr/