La famille joue un rôle crucial dans nos vies mais pour certaines raisons, beaucoup de gens, qui aimeraient avoir un bébé et agrandir leur famille, ne peuvent pas avoir un enfant. C’est pourquoi la maternité de substitution est une étape qui peut se présenter comme étant une bouée de sauvetage pour eux.
L’utilisation des services de maternité de substitution en Ukraine avec le World Center of Baby accompagne de nombreuses familles pour réaliser leurs souhaits et avoir leur petit ange. Les gens doivent se rappeler que c’est une énorme responsabilité et que la deuxième étape après la décision est de trouver la meilleure gestation pour autrui (GPA) en Ukraine Worldcenterofbaby.com, pays devenu l’eldorado des couples en détresse.
« Mère porteuse » est l’appellation donnée à une femme qui consent, généralement moyennant rétribution, à porter pendant le temps de la fécondation, un ovocyte provenant d’une autre femme. A la naissance, la mère porteuse remet le nouveau-né à la mère d’intention.
Que l’on soit pour ou contre, voici des informations à titre informatif.
L’Ukraine est l’un des rares États du monde où la gestation pour autrui est soutenue et réglementée par la loi. La grande majorité des pays européens ont refusé d’utiliser cette méthode de traitement de l’infertilité.
Autorisée en Ukraine depuis 2002 pour les hétérosexuels mariés et ayant fait la preuve de leur infertilité, cette médecine reproductive attire en particulier les étrangers, depuis que l’Inde et la Thaïlande ont restreint, en 2015, la GPA aux seuls nationaux. Aucune statistique officielle ne circule, mais les professionnels évoquent une fourchette de 3 000 à 3 500 contrats signés chaque année (Le Monde). Plus du tiers d’entre eux seraient chinois.
Quel type de maternité de substitution est le plus courant et quelle est la meilleure agence de maternité de substitution en Ukraine ?
En France, La loi de bioéthique du 29 juillet 1994 est catégorique : la gestation pour autrui est illégale sur le territoire. L’interdiction a été réaffirmée lors de la révision des lois de bioéthique en 2011. A l’issue d’un vif débat, les députés puis les sénateurs ont rejeté cette pratique au nom du « principe de l’indisponibilité du corps humain ». Mais une brèche s’est ouverte en janvier 2013.
La maternité de substitution est assez difficile et demandera beaucoup d’énergie pour les futurs parents et la femme, qui acceptera d’aider un autre couple ou même une seule personne à avoir un bébé. Mais en passant par une agence réputée, il est beaucoup plus facile de trouver la bonne mère porteuse. Les clients bénéficieront du soutien d’un avocat spécialisé dans le domaine de la maternité de substitution en Ukraine et du droit de l’immigration. Leur travail consiste à rendre l’expérience des futurs parents aussi simple, informée et sans stress que possible.
Les agences mettent en place une approche méticuleuse dans le choix des mères porteuses et donneuses d’ovules. Toutes subissent une évaluation médicale, psychologique et des vérifications des antécédents médicaux. Les donneuses d’ovules répondent à des critères stricts basés sur des directives juridiques, éthiques et physiques. Les cliniques jouent sur la transparence concernant leur politique de recrutement de mère porteuse et la rémunération qui lui est versée.
Qu’en est-il de la partie financière ?
Il faut savoir que les paiements effectués par la mère porteuse dépendent de diverses circonstances, essentiellement du couple avec lequel elle coopérera au cours des neuf prochains mois. En travaillant avec une clinique, les intérêts de tous seront protégés. Effectivement, les experts de la clinique savent quel devrait être le paiement de la mère porteuse en fonction des différentes circonstances.
Chaque cas de maternité de substitution varie en fonction de nombreuses circonstances qui peuvent influencer la rémunération globale. La mère porteuse reçoit une compensation, des bénéfices supplémentaires en fonction du déroulement de la grossesse, une couverture médicale et bien d’autres avantages.
En Ukraine, la loi ne limite pas le montant de l’indemnisation pécuniaire de la mère porteuse pour les services qu’elle rend. Elle peut recevoir jusqu’à 22 000 euros. Ainsi, elle reçoit la première partie des frais le jour de la FIV ou après la confirmation de la grossesse. Le reste de la rémunération lui est versé après l’accouchement et le transfert de l’enfant aux parents.
Les principaux postes de dépenses :
- examens.
- procédure de FIV.
- gestion de la grossesse.
- accouchement.
- médicaments.
- assistance juridique.
Si cela vous intéresse, vous pouvez découvrir le coût détaillé de la maternité de substitution en Ukraine sur Worldcenterofbaby.com
Ce qu’il faut retenir :
- le couple verse à la mère porteuse une compensation monétaire pour services rendus d’un montant spécifié dans le contrat.
- la mère porteuse accepte de transmettre le nouveau-né à ses parents après l’accouchement, n’acquiert aucun droit parental et n’a pas le droit de contester cela devant le tribunal.
Il y a, aujourd’hui, pleins de modèles de famille et c’est tant mieux. Ce n’est plus un papa et une maman, c’est diversifiée et j’apprécie cela. Alors faire un bébé a également plusieurs façons de fonctionner et si des familles sont heureuses comme cela, je dis « oui ».
Auteur
Oui du moment que les femmes sont bien traitées dans ce cas 🙂 bises
Que dire … Pas vraiment d’avis sur le sujet. Tant que tout le monde y trouve son compte et que ça tourne pas à l’exploitation, pourquoi pas. Chacun fait comme il veut.
Auteur
Oui je suis assez mitigée sur le sujet car beaucoup de dérives…
Coucou,
J’en ai déjà entendu parler oui 🙂 J’avais même écouté un podcast de Bliss stories à ce sujet !
Auteur
Ahh je file voir ça ! Merci
Du moment que la mère porteuse est dûment rémunérée et qu’elle a passé des tests psychologiques, je comprends que des couples y aient recours. Mais je trouve ça dure de vendre son corps pour 9 mois, surtout vu l’épreuve que constitue une grossesse sur le corps de la femme et des risques à l’accouchement.
Auteur
Coucou, oui… pas chose évidente pour avoir vécu récemment une grossesse !
Mouaiii. C’est plus un business qu autre chose. Perso je n’adhère pas tellement à cette façon de procréer.
Auteur
oui je comprends !
Franchement je pourrais pas après j’ai du respect pour celle qui doivent y faire appel
Auteur
pareil !
Oui j’ai déjà entendu parler et franchement je suis carrément contre les restrictions totales à ce sujet. Si c’était autorisé et bien encadré c’est tout à fait entendable comme façon. De toute façon à partir du moment où on touche à ma liberté de choix je trouve ça purement dégueulasse.
Auteur
Du moment que c’est encadré et que personne ne souffre, pourquoi pas oui !
Ah tu dois être contre le vaccin j’imagine hihi
bisoussss
Je n’ai pas vraiment d’avis sur le sujet. Un peu mitigée. Il faut savoir dans quoi on s’embarque je pense. Que chacune des parties concernées soient après à tenir ses engagements.
Auteur
Oui je suis mitigée également, tout dépend de la situation je dirai 🙂
Merci beaucoup pour ton article, bien évidemment que j’ai déjà entendu parler du sujet. Après en ce qui concerne mon avis, je pense que je n’ai pas forcément approfondi suffisamment les choses pour le donner, mais comme ça rapidement je trouve ça tout de même pas mal. En tout cas pour moi cela n’a rien de choquant.
Auteur
Oui cela reste interdit en France, ce n’est pas pour rien j’imagine ?
sujet pas simple en effet !
Auteur
Beaucoup de controverses….
Je suis plutôt pour, si bien évidemment il n’y a pas de dérive. Si cela était autorisé en France j’aurais aimé aider un couple d’amis qui ne peuvent pas avoir d’enfant.
Auteur
ohh c’est gentil !!!
C’est un sujet qu’il faut aborder. Chaque famille, chaque cas doit être étudié, on ne peut pas parler à la place de ces personnes…
Auteur
C’est vrai aussi !!!
Comme pour tous les sujets, qu’ils soient simples ou complexes et importants ou non, il y a toujours du bon et du mauvais. Ça peut aider des couples qui souffrent de ne pas pouvoir faire d’enfants mais ça peut aussi entraîner des dérives. Et ça peut entraîner des situations horribles car une femme peut finalement avoir l’envie (et c’est légitime) de garder l’enfant après l’avoir porté pendant neuf mois et fait naître sous ses yeux.