Cashback : bon plan ou arnaque ?

Honnêtement, j’ai mis du temps à comprendre le principe du cashback. On en entend régulièrement parler, on voit pas mal de pubs sur les réseaux sociaux via les influenceurs, on reçoit même des newsletters qui traitent du sujet mais finalement… Pour ma part, je n’ai pas tout capté du premier coup. Qu’on ne me dise pas que c’est lié à ma couleur de cheveux !

Pour ma défense, j’ai lu sur une étude en ligne que seulement 36% des consommateurs sondés connaissaient le cashback gratuit. Selon Xerfi, en 2016, 10,9 % de la population française était inscrite sur un site de cashback.

Commençons par les bases

Encore un terme anglosaxon grrrrrrr. Le cashback est une technique de fidélisation qui permet de faire gagner de l’argent au consommateur, lors de ses achats en ligne, principalement.

Cette stratégie gagne en popularité en France, mais pas seulement ! Pourquoi ? Car les acteurs proposant ce « service » ne cessent de se développer et que les mœurs ont grandement évolué : aujourd’hui nous sommes fiers de faire des économies, surtout par les temps qui courent !

Au passage, peut-on évoquer l’augmentation incroyable de la taxe foncière ?! Le Gouvernement s’imagine que puisque tu es proprio d’un petit, ou non, bien, tu dois raquer pour tout le monde car il a supprimé la taxe d’habitation ? WHAT THE FUCK ?

BREF.

Bonne nouvelle, cela fonctionne dans différents secteurs comme le prêt-à-porter, la beauté, le voyage, ou encore le high-tech. Vous allez voir, on trouve même ses marques préférées.

Que signifie donc cashback ? En Français, cela se traduit par “retour d’argent”.  Pour faire simple, cela consiste à récupérer une partie de la somme d’argent dépensée lors d’un achat. Pas mal sur le papier comme idée, n’est-ce-pas ?

Des achats qui rapportent : le principe du cashback a tout pour séduire les adeptes de shopping en ligne

Mais comment cela marche concrètement

Passons aux choses sérieuses !

Pour profiter des avantages du cashback, il faut d’abord créer un compte sur un outil dédié. Lorsque vous allez acheter sur une boutique en ligne partenaire d’un prestataire « cashback », vous devrez alors activer le service via un site, une extension ou une application. Vous pouvez tester l’appli JOKO, connue et réputée dans le milieu, n’hésitez pas à en avoir plus sur le parrainage JOKO. Aucun rapport avec le joueur de tennis Serbe hein ! La marque est parvenue en quelques années à séduire plus de 2 millions d’utilisateurs, par sa simplicité et sa fiabilité. L’appli propose du cashback auprès de plus de 1 000 partenaires marchands comme Lidl, Auchan, Carrefour, E.Leclerc, Amazon, Booking, Etam, Kiko, Sephora , Monoprix et même la Fnac.

Attention, pour que le cashback s’active, vous devez au préalable vérifier que votre navigateur accepte d’envoyer ses cookies à d’autres sites.

Une fois l’achat effectué, vous obtiendrez une commission selon le pourcentage du montant total dépensé. Coucou la cagnotte qui voit les euros s’accumuler sur l’outil de cashback.

Attention, le pourcentage de commission dépend des sites de cashback et des partenariats créés avec les sites de shopping en ligne. Il n’existe pas de règles fixes.

Vous aurez ensuite la possibilité de débloquer votre jackpot de diverses manières comme un virement, une carte-cadeau, etc.

Mais ça vaut le coup ou pas ?

Le cashback se positionne comme une technique intéressante pour les sites d’e-commerce, car le dispositif est “gagnant-gagnant” pour les consommateurs et les e-commerçants. Personnellement, je viens de m’inscrire !

Le cashback n’est donc pas une arnaque, mais comporte néanmoins un seul bémol : le danger principal est de surconsommer. Il faut savoir rester rationnel, comme pour tout d’ailleurs !

Et vous, avez-vous déjà tenté le cashback ? Dites-moi tout dans les commentaires !